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« Cette vie est un véritable naufrage, sauve qui peut. »

DOCUMENTI, PREGO.
nom et prénoms ♣ Giulietta Osanna Poletti. date et lieu de naissance ♣ 31/12/1986 en Italie. orientation sexuelle ♣ Hétérosexuelle. statut civil ♣ Célibataire. statut social ♣ Moyenne. emploi/études ♣ Secrétaire & garagiste. quelques traits de caractère ♣ Agréable- Rancunière - Tolérante - Jalouse - Serviable - Curieuse - Persévérante - Impulsive. groupe ♣ I've found my soulmate. starring ♣ Dianna Agron.

IL PASSATO E IL VOSTRO PRESENTE.

« Emanuele, on a besoin de toi par là. » Un jeune homme, la vingtaine encore fraîche relève sa tête du moteur qu'il est en train d'examiner et son regard croise un regard bleu qui fait immédiatement augmenter les battements de son cœur. La femme est plus jeune que lui, il en est presque certaines et tout en essuyant ses mains pleines de cambouis, il s'approche d'elle avec un petit sourire sur les lèvres. « Je peux vous aider, jeune demoiselle ? » Elle n'a pas l'air intimider et lui jette un regard dédaigneux avant de désigner le véhicule qui se trouve derrière elle et le phare casser à l'avant. « C'est la voiture de mon père, il a été d'accord pour me la prêter et cela ne se reproduira certainement pas si je la lui rends dans cet état, est-ce qu'il est possible que vous la répariez maintenant... Je suis prête à vous payez le double si vous acceptez. » Il ne sait pas trop quoi dire et penche légèrement la tête, il voit son patron et l'un de ses collègues en train de rigoler tranquillement en le regardant en train de se dépatouiller avec cette fille de riche. Comme-ci de rien n'était, il se retourne avec l'intention de reprendre ce qu'il était en train de faire, mais c'était sans compter sur la persévérance de la jeune cliente. Il allait attraper sa clé à bougie quand une main se pose sur son avant bras. Un frisson le parcouru et il se stoppe dans son geste avant de soupirer, une idée en tête. « J'accepte, mais a une condition... » Il voit bien qu'elle cogite un moment instant avant d'acquiescer. Il se détourne alors complètement pour attraper le nécessaire pour ce travail intermédiaire dans sa journée et contourne la jeune femme comme-ci de rien n'était. Celle-ci le regarde faire et se demande bien pourquoi elle a accepter, surtout qu'elle ne sais même pas qu'elle est la condition. Apeurée, elle le rattrape dehors et prend une grande inspiration avant de se lancer. « Puis-je savoir à quoi je vais devoir m'attendre de votre part, Monsieur ? » Il lève un sourcil de stupéfaction, lui, Monsieur ? Il se retient de rire avant de s'approcher d'elle avec un grand sourire. « Vous et moi, un dîner samedi soir et pourquoi pas une petite balade dans le parc après et vous ne pouvez refuser, sinon j'arrête tout de suite ce que je suis en train de faire et repart à mes occupations. » Elle reste prostrée dans son silence, un repas, ce n'est pas la mer à boire et de plus, la semaine suivante elle ne sera plus dans cette ville. Comment c'était déjà ? Ah oui, Matera. Légèrement soulagée, elle se détourne pour se rendre au bureau pour remplir les papiers nécessaires, mais la voix du jeune homme l'arrête avant qu'elle n'atteigne son but. « En fait, c'est Emanuele, pas Monsieur. » Un petit sourire viens sur ses lèvres et tout en replaçant une mèche blonde derrière son oreille elle lui lance son prénom. « Graziella. »

« Dit papa, ah oui que je pourrais être réparatrice de voiture comme toi plus tard ? » L'homme a qui est poser la question éclate de rire avant de jeter un regard a sa femme qui sourie tout aussi tendrement devant le spectacle que leur donne leur unique fille de sept ans. Elle a beau être jeune, elle sais déjà très bien ce qu'elle veux faire de sa vie, tout comme lui quand il était plus jeune. La plus grande preuve en était les deux femmes de sa vie, s'il n'avait pas eu le culot d'inviter son épouse, de force il peut l'avouer, elle ne serait pas là en train de lui poser la question. « Tu pourras faire tout ce que tu voudras de ta vie ma chérie, tant que cela est légale et ne sois pas trop dangereux pour ta vie. » La petite blondinette perd son sourire et fait une moue totalement irrésistible pour son géniteur, tenir bon devant elle est une véritable torture. « Alors, je ne pourrais pas être cascadeuse ? » Il lance un regard inquiet à sa femme avant de se retourner vers sa fille. « Non, cela fait partie des métiers que tu devra éviter, d'accord ? » Elle acquiesce avant de s'approcher de sa mère et s'asseoir sur ses genoux en mettant son pouce dans sa bouche. Grommelant contre l'injustice de la vie. La douce main de sa maman lui caresse les cheveux et elle ferme les yeux, sentant la fatigue l'envahir doucement. « Dit c'est quand que le bébé, il arrive ? Parce que moi, j'en est marre d'être appeler comme ça. Je suis une grande fille, c'est tonton Cosma qui le dit. » Tout en disant cela, elle a poser sa petite main sur le ventre rebondit de sa génitrice qui ne peux s'empêcher de sourire. Lors de sa première grossesse, cela a été tellement compliqué qu'ils ont hésiter un bon moment avant de se décider a avoir un second enfant. Mais un enfant unique signifiait un enfant roi et ils ne voulaient absolument pas que leur fille devienne comme cela. D'ici quelques temps un petit garçon allait donc venir agrandir leur belle famille. « Très bientôt, d'ici deux mois tu pourras le tenir dans tes bras et comme je te l'ai demander, tu fera très attention à lui. » « Je le promet, je serais son Ange Gardien. »

Giulietta n'en revient pas, doucement elle avance dans les couloirs et sens les regard de beaucoup de ses camarades sur sa personne. Mais c'est loin d'être agréable et ce genre de privilège est d'habitude réserver qu'aux populaires, alors pourquoi aujourd'hui tout le monde la regarde comme une bête de foire ? Arriver devant son casier, elle compose son code avant de se reculer doucement devant le nombre impressionnant de petit papier qui viens d'en tomber. Elle se penche et en ramasse quelques uns avant de se redresser tout en jetant frénétiquement des regard autour d'elle. Qui a pu faire cela ? Curieuse, elle ouvre l'un des papiers et étouffe un hoquet de surprise en lisant les quelques mots. « C'est quand et où tu veux. Amadeo de ton cours d'histoire. » Tout les autres sont de la même tranche et elle se demande vraiment ce que cela veux dire quand l'une de ses amies passent à proximité d'elle et lui fait un signe de la suivre. Elle referme sans délicatesse son casier et la suis en essayant de ne pas faire attention à cette drôle de sensation de malaise qui l'envahi depuis son arrivée au lycée. Rien n'a pourtant changer dans sa vie, sauf peut-être le fait que sa mère est un cancer, mais peut de personnes le savent et seulement les proches sont dans la confidence. Arrivée dans une classe vide, elle referme la porte derrière elle et se retourne vers sa camarade. « C'est quoi ce bordel ? J'ai gagner a la loterie sans le savoir ou quoi ? » Les yeux de son amie se baisse et elle sens que ce n'est pas quelque chose a prendre en riant ou encore comme une plaisanterie. « Je ne sais pas ce que tu as fait ou encore ce que tu as pu dire, mais le bruit cours depuis ce week-end que tu as coucher avec Fabio di Parisi dans les vestiaires des garçons... Vendredi dernier... » Le cœur de Giulietta s'arrête de battre et elle se retient à la table près d'elle, comment est-ce qu'il a pu faire courir un tel bruit sur elle ? Et dire qu'il lui avait fait croire qu'il ressentait quelque chose pour elle. Il ne s'était rien passer entre eux, juste quelques baisers, mais rien de plus. « C'est pas vrai, tu me crois toi au moins ? J'ai refuser qu'on puisse aller plus loin, tu sais que ce n'est pas très facile en ce moment pour moi et j'ai juste voulu m'amuser un peu comme une fille de mon âge. Mais pas en allant aussi loin, surtout avec lui. » Son amie s'approche et la prend dans ses bras tout en la serrant contre elle. « Je le sais, mais il a une réputation dans cette école et je pense que beaucoup vont vouloir plutôt le croire lui que toi. Après tout, qui somme nous ? » Devant la véracité de ce que venais de dire son amie, Giulietta compris que ce ne serait pas facile et qu'elle allait devoir se battre pour faire comprendre aux autres que ce n'était qu'un mensonge. Le pire c'est que cela allait vite se propager et arriver aux oreilles de ses parents, de sa pauvre mère déjà assez préoccupée comme cela.

La vie pouvait vraiment être une pourriture par moment et à l'instant même où elle eu cette pensée, Giulietta pensait à sa mère qui avait perdu son combat contre son cancer quelques mois auparavant. Elle avait vraiment du mal à se remettre de cette perte et elle venait souvent dans ce bar pour essayer de penser a autre chose, ce qui était assez difficile c'est dernier temps. Cela lui rappelait un peu cette période au lycée quand on avait fait courir qu'elle était une traînée et que complètement à bout, elle avait demander a être transférer dans un autre établissement de Rome. Cela n'avait pas cesser les chuchotement sur son passage, mais elle avait pu reprendre un tant soit peu une vie normale. Le comble c'est que dans ce bar, elle n'avalait jamais une seule goutte d'alcool, elle buvait un soda ou encore par moment une bière sans alcool. A aujourd'hui près de vingt-cinq ans, elle était toujours célibataire et avait lâcher les études pour travailler avec son père dans son garage. Ce n'était pas glorieux, mais elle se sentait à peu près bien dans cette vie. Soupirant, elle leva la main pour interpeler le serveur quand quelqu'un s'installa à ses côtés. Sa commande arriver, elle bu au goulot de sa bouteille, avalant une longue gorgée. « L'alcool n'est jamais une solution. » Giulietta se retourne vers la personne qui a parler et son regard se pose sur un jeune homme d'approximativement son âge avec un sourire sympathique coller aux lèvres. Elle détourne alors les yeux et les pose sur la bouteille de bière de son voisin. « C'est l'hôpital qui se fout de la charité ? Qu'est-ce qui est devant vous ? » Sans même le regarder, elle le sens baisser la tête et l'entend bouger un peu sa propre bouteille avant de l'apporter à sa bouche, elle a du toucher une corde sensible. Pourtant, elle ne s'excuse pas et avale une nouvelle gorgée de sa boisson non alcoolisée. « J'ai mes raisons, mais une jolie fille comme vous ne devrait pas être dans un endroit comme celui-ci. » Un petit rire passe ses lèvres et elle se redresse un peu avant de rétorquée. « Est-ce que vous essayerez de me faire du charme ? Ce n'est pas que cela me déplaît, mais voyez-vous, mes parents m'ont appris à me méfier des personnes que je pourrait rencontrer dans un bar. » « Des sages personnes, vos parents. » Giulietta rigole avant de jeter un nouveau regard à son voisin. C'est un bel homme, grand et surtout qui donne l'impression d'être sûr de lui et de n'avoir peur de rien, même si un petit quelque chose montre qu'une faille ce cache sous cette façade. Elle décide de rester silencieuse un tant avant de se reprendre la parole, curieuse d'en savoir un peu plus. « Vous n'êtes pas d'ici, je me trompe. » Il secoue la tête négativement avant de boire une lapée de son liquide et de répondre. « Je suis de Florence, mais j'ai de la famille à Rome, c'est d'ailleurs pour cela que je suis ici... Problème familial. » Elle opina doucement avant de repousser ses cheveux et de se mettre debout tout en laissant un billet de vingt euros sur le comptoir. « Mario, c'est moi qui paye pour ce charmant jeune homme... Vous avez quelque chose de prévu, là, tout de suite ? » « Et si je vous disais que mes parents m'ont appris à se méfier des personnes que je rencontre dans les bars ? »

TU DIETRO IL VOSTRO SCHERMO.

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Alors moi c'est Marine, j'ai dix-huit ans. Je n'ai pas grand chose à dire sur moi, je viens de Seine-Maritime et surtout j'ai comme projet de passer le concours d'aide-soignante... Un jour. Sinon je pense que niveau connexion, je serais présente six jours sur sept. Après je ne sais plus quoi dire de plus, mais si vous avez des questions j'y répondrais.