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« You have come this far, don't give up. »

DOCUMENTI, PREGO.
nom et prénoms ♣ dimarco, anna-lia. date et lieu de naissance ♣ vingt-deux mai mille neuf cent quatre-vingt huit, Naples. orientation sexuelle ♣ hétérosexuelle. statut civil ♣ officiellement mariée, mais c'est pas aussi simple. statut social ♣ Il paraît que je suis née avec une cuillère en argent dans la bouche, donc merci papa et maman pour tout cet argent. emploi/études ♣ styliste. quelques traits de caractère ♣ franche - posée - souriante - sociable - tolérante - intelligente - coueuse - cachotière - jalouse - rancunière - nerveuse groupe ♣ i've found my soulmate. starring ♣ BUSH ♥.

IL PASSATO E IL VOSTRO PRESENTE.
C'est ici que la partie se complexifie, en effet, personne n'aime tellement décrire l'histoire de son personnage parce que, tout simplement, c'est la partie la plus longue de cette fiche. Malheureusement, celle-ci est nécessaire et bien entendu obligatoire. En revanche, nous vous laissons le choix quant à la présentation de celle-ci. Elle peut prendre plusieurs formes comme celle d'un journal intime, d'anecdotes ou bien de bloc continu. A vous de choisir, nous demandons juste un minimum d'une trentaine de lignes. Sur ce, bonne merde les choux et surtout, n'oubliez pas de nous faire rêver (à).

TU DIETRO IL VOSTRO SCHERMO.

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Coucou ! Je débarque sur ton forum grâce à mon ordinateur. Non plus sérieusement je suis ici grâce à PRD, d'ailleurs il est super beau le forum & j'aime bien le contexte & puis il est tout nouveau et j'aime bien voir la naissance des forums. Donc je suis sûr que tout va bien se passer ! Sinon j'habite dans le beau pays qu'est la France, je m'appelle Millie et j'ai 20 bougies (21 dans 4 mois). J'aiJe serais là environ six jours sur sept. Quoi qu'il en soit, comme dit la voix, "c'est tout pour le moment".

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IL PASSATO E IL VOSTRO PRESENTE.

« Fernando, j’ai perdu les eaux !! » Ma mère regardait mon père avec un regard inquiet, elle savait que le terme était bientôt mais pas ce soir, elle avait une soirée sur le dos. « Quoi ? Maintenant ?» Pas besoin d’être devin pour savoir que mon père était aussi paniqué que ma mère. «Non pas maintenant, demain ! Non mais à ton avis ? Et puis c’est de ta faute si je suis comme ça. » Ouais ma mère n’avait jamais fait dans la demi-mesure. Enfin bref, l’idée est que c’est un certain 22 Mai 1988, il y a vingt-trois ans de ça maintenant que je suis venue au monde, enfin bientôt vingt-quatre ans d’ailleurs dans quelques mois, Dio je deviens vieille. [color=blue]« Mademoiselle Dimarco ici c’est un cours de dessin. Si vous voulez dormir, rentrez chez vous. »[color] Réflexion de mon prof de dessin devant toute la classe à mon égard. Mon Dieu que je ne l’aimais pas du tout celui là mais comme c’était mon prof de dessin je n’avais pas d’autre choix que de me montrer discrète et de ne rien dire. J’avais commencé le dessin il y avait à peine un an, alors âgée de neuf ans. Depuis que j’étais toute petite je m’amusais à dessiner un peu tout ce que je voyais et en grandissant cette passion a grandit avec moi si bien qu’au final ma mère m’a inscrite dans une école de dessin et j’y étais trois fois par semaine, pas mal hein ? Et comme j’adorais ça, ça allait et ma mère était rassurée de voir que je ne passais pas que mon temps à traîner. Mais la vie n’est jamais aussi belle qu’on le croit hein. Une vilaine ombre est venue noircir le tableau de ma jolie petite vie lorsque mes parents ont décidé de se séparer, parce qu’ils ne voyaient plus l’intérêt de rester mariés s’ils ne se voyaient presque jamais à cause de leurs carrières respectives et que les sentiments n’étaient plus vraiment là. Mais bon ils ont divorcé à l’amiable, je n’ai donc pas eu de cris et de larmes juste le déménagement de mon père dans un autre appartement de Naples pendant que moi je restais vivre avec ma petite maman, une chance quand même que mon père ne soit pas trop loin, au moins je pouvais aller le voir aussi. « Merda Lia, il faut vraiment que t’arrêtes hein. »& voilà un jeune brun d’à peine trois ans de plus que moi qui débarquais dans ma chambre alors que je venais tout juste de fermer la porte quelques secondes plus tôt. « Mais de quoi tu parles encore ? » Question absolument stupide vu que je savais très bien de quoi il voulait parler mais j’avais toujours cette habitude de le faire marcher et en grandissant, cette sale habitude est restée si bien que dès que j’en avait l’occasion je m’amusais à le faire marcher autant que possible rien que pour le plaisir de le voir s’énerver et puis il me le rendait bien ne vous en faite pas pour lui. « Je ne sais pas moi, je parle du fait que tu t’amuses à envoyer des textos à mes exs en te faisant passer pour moi. Dis-moi tu te moques de moi ou bien ? » J’avais très envie de lui dire oui que je me moquais de lui et que je ne connaissais pas plus que ça c’est fille mais bon ça me faisait rire donc je m’en donnais à cœur joie. Pour la petite histoire on ne peut pas vraiment dire que mon frère soit un modèle de vertu et de fidélité, d’ailleurs je me demande s’il a déjà eu une vraie histoire sérieuse, mais j’en doute fortement vu le nombre de conquêtes qu’il a. Et donc moi pour m’amuser dès que je pouvais je prenais le téléphone de mon frère pour parler avec ses anciennes copines. C’est comme ça que j’ai réussis à faire croire à plusieurs d’entre elles que Leo était désolé et voulait les récupérer, résultat elles le collaient. Je racontais à certaines qu’on allait devenir grandes amies et passait une bonne partie de la journée avec elle pendant que mon frère était là bien sûre et bien que je n’avais aucune envie de leur parler l’expression sur le visage de Leonardo valait vraiment de détour. « Ben quoi, elle accepte de te récupérer c’est bien non ?» « Dis-moi Lia depuis quand tu t’intéresse à mes histoires ? » Hum depuis jamais sans doute mais je n’allais pas lui dire ça, il allait trop être content et un sourire d’ange plus tard, je lui claquais la porte de ma chambre au nez. Ma relation avec Leo a toujours été comme ça depuis notre plus tendre enfance il faut le dire. A l’époque où je suis née il avait déjà trois ans et savait déjà beaucoup de chose comme il aime me le rappeler. Il est sans doute la personne qui me connait le mieux au monde et moi c’est pareille avec lui. On était tellement complice que même lorsqu’il est parti de la maison pour aller à l’université de Columbia à New-York ( oui oui aux Etats-Unis) on savait tous les jours au téléphone et aujourd’hui même avec nos vies respectives on s’appelle tous le temps. Enfin bref, parlons un peu de moi voulez-vous.

Je marchais tranquillement dans les couloirs de mon lycée lorsqu’une jeune blonde d’environ mon âge m’est rentrée dedans et avant même que je n’ouvre ma bouche, elle était déjà en train de s’excuser. « Désolée j’ai pas fais attention je suis nouvelle ici. » Une nouvelle ? D’accord, je n’allais pas non plus lui sauter dessus en lui demandant ce qu’il lui avait pris de me bousculer comme ça. Pas de soucis, j’étais dans mes pensées aussi. Moi c’est Anna-Lia. » Elle était nouvelle et ne connaissait personne enfin je pense donc je m’étais dis que je pouvais sans doute rester là avec elle. « Salut moi c’est Calliope, je viens tout juste d’arriver de Rome avec mon frèreLeandro qui doit pas être loin. » « T’as quitté la capitale pour Naples? Bah bienvenue ici alors… » « Déménagement familiale. » Hochement de tête de ma part, au final elle était dans ma classe et on a passé toute notre journée ensembles et dire que je venais de rencontrer celle qui serait ma grande meilleure amie. Six ans plus tard, elle et moi on était toujours les meilleures amies du monde et dire qu’on c’était rencontrées lors de notre dernière année de lycée alors âgée de dix-huit ans. Du temps étaient passé depuis là. « Cara, dis-moi tu m’aimes ? » Le cher frère de ma meilleure amie était devenu mon petit-ami, on avait fini par se mettre ensembles un an après que je les ai rencontré lui et sa sœur. Au départ c’était juste un ami, puis un flirt avant de devenir mon petit-ami. « Dis-moi ça te prends souvent de me poser des questions stupides ? » « Tu ne me le dis presque jamais alors j’attends… » S’il savait, je ne disais presque jamais au gens que je les aimais, peur de souffrir et de l’engagement sans doute. « Oui je t’aime comme j’ai jamais aimé personne et tu les sais très bien donc ne penses pas que je te le dirai tous les jours non plus… » Et voilà qu’il souriait ce con, il m’avait bien eu quand même. « Epouses-moi. »« Quoi !? » « Pas maintenant mais plus tard, épouses-moi… » « D’accord. » Je devais être folle d’accepter comme ça et pourtant je l’avais fait et puis c’est pas comme si on allait se marier l’année suivante. Madame Dimarco-Ricci. Dio mio, j’avais parlé trop vite, un an plus tard alors âgée d’un peu plus de 19 ans, j’avais épousé Leandro, un soir après une soirée un peu trop alcoolisée et dans un élan d’amour mutuel on avait fini par se dire oui. En même temps ce n’est pas comme si on était de parfait inconnu ou qu’on ne s’aimait pas. Vu que je l’aimais réellement mais franchement le mariage était bien la dernière chose dont je pensais et pourtant j’étais bien mariée et après en avoir longuement discuté on a décidé de rester mariés tout les deux, chose que mon père n’a jamais apprécier et maintenant il a pas si tord que ça mais c’était clair dans sa tête il fallait que je divorce parce qu’il n’aimait pas beaucoup mon petit-amis, enfin mari maintenant et trouvait que personne ne se mariait à 19 ans et il avait pas si tord que ça mais bon au départ je pensais que c’était bien, vous avez jamais remarqué à quel point on est naïf quand on n’est jeunes ? « Leandro, je veux que tu t’en aille. » Nous y voilà deux ans plus tard après s’être passé la bague au doigt on était en train de se déchirer. Il avait fallu d’une soirée avec une grosse dispute, où il était sorti, boire pour oublier, tellement boire qu’il a fini dan le lit d’une pétasse blonde qui avait était en stage dans la même maison de stylisme que moi, j’ai fini par l’apprendre et maintenant tout c’était cassé, et dire que j’avais peur de souffrir et que je pensais que tout irait bien avec Lean’, je m’étais bien trompée. « Caray, on peut essayer d’arranger ça non ? » « Ne me cara pas ! J’en sais rien, tout ce que je veux c’est que tu t’en aille. » Ca paraissait peut-être radical mais c’était vrai je ne voulais pas rester avec lui, je m’étais autorisée qu’une fois à aimer plus que tout. « N’oublies pas que je t’aime… »En tant normal je lui aurais répondu « moi aussi », et j’en avais envie mais ma déception était là et je ne pouvais rien faire contre. « Lia, il se passe quoi avec mon frère ? » ca y est je savais bien qu’on allait avoir cette discussion un jour où l’autre. » Plein de chose, pas très envie dans parler maintenant… » Ni maintenant, ni plus tard en faîte je voulais juste essayer d’oublier parce que bien que ça me faisait souffrir j’aimais tellement Leandro que je le voulais à mes côtés. « Mais je vos bien que tu es malheureuse ». Sur ce coup là, elle n’avait pas tord vu la quantité de mouchoirs que j’avais utilisé. « Je sais et j’ai décidé de partir. Je m’en vais, je déménage… » « Pardon ? » « Rome, j’y déménage . Et puis sérieusement ça fait longtemps que je voulais aller à la capitale. » « Je part avec toi ! Je peux pas te laisser toute seule.» Hochement de tête de ma part, je n’avais pas forcément envie de la forcer à venir avec elle, mais la jeune femme a sourit et voilà que Callie est venue avec moi, et ça va faire un peu plus de deux ans qu’elle et moi on habite ici. J’avais recommencé à vivre tranquillement comme avant, ma carrière de styliste commençait à décoller – merci aux parents - et c’était le plus important. Seul point noir je n’avais pas encore eu le courage de me lancer dans une autre histoire d’amour et d’ailleurs je n’avais jamais divorcé de Lean’ vu que j’avais décampé du jour au lendemain mais personne ne sait que je suis mariée à part Calliope, tout le monde me connaît sous le nom Dimarco et uniquement ce nom là. On ne pouvait pas faire plus compliqué hein, jusqu’à ce que quelqu’un toque à ma porte « Salut… » Attendez un peu, c’est pas possible, pas après plus de deux ans, il pouvait pas être là, non ? Si ? Je n’en sais rien mais tous ce que je sais c’est que le voir m’a déstabilisé, et dire que je ne voulais pas que ça m’arrive. C’était un mauvais trip là. Un très mauvais trip.